Un trisomique n'est qu'amour et donne beaucoup beaucoup d'amour. Il nous déconnecte de nos idéologies débiles de l'utilitarisme, du mérite, .....il nous ramène au paradis et à l'essentiel car la vie ne devrait être qu'AMOUR
IL FAUT VRAIMENT ÊTRE MALADE POUR VOULOIR S'ÉLEVER AU-DESSUS DES AUTRES (et non AVEC les autres)
Ces handicapés mentaux et de cœur qui s'imposent à l'humanité pire que des sangsue du pauvre
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anecdote
"Premier à prendre la parole dans l’hémicycle [...] le député Marc Le Fur (UMP-Côtes d’Armor) fait mouche en évoquant Anne, la petite fille d’un couple peu banal : «Anne ? Oui, sa naissance a été une épreuve pour ma femme et moi. Mais croyez-moi, Anne est ma force. Elle m’aide à demeurer dans la modestie des limites et impuissances humaines.» Qui a dit cela ? demande le député à ses collègues. La réponse tombe dans un silence religieux : «Le général De Gaulle qui a combattu le nazisme et son eugénisme». Applaudissements nourris sur les bancs de la majorité à la fin de sa prestation.
Il n’est pourtant pas si éloigné le temps où il était tabou de prononcer le mot d’eugénisme.
En saisissant le Conseil d’État en 2008 sur la révision de la loi de bioéthique, le Premier ministre François Fillon avait surpris en marquant sa préoccupation : «Les dispositions encadrant le diagnostic prénatal garantissent-elles l’application effective du principe prohibant toute pratique eugénique tendant à la sélection des personnes (art. 16-4 Code civil) ?». Un an plus tard, la réponse de la Haute juridiction claquait comme un coup de tonnerre dans un ciel d’été : la suppression de 96 % des enfants atteints de trisomie 21 – chiffre cité pour la première fois noir sur blanc dans un rapport officiel – rend compte «d’une pratique individuelle d’élimination presque systématique».
IL FAUT VRAIMENT ÊTRE MALADE POUR VOULOIR S'ÉLEVER AU-DESSUS DES AUTRES (et non AVEC les autres)
Ces handicapés mentaux et de cœur qui s'imposent à l'humanité pire que des sangsue du pauvre
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anecdote
"Premier à prendre la parole dans l’hémicycle [...] le député Marc Le Fur (UMP-Côtes d’Armor) fait mouche en évoquant Anne, la petite fille d’un couple peu banal : «Anne ? Oui, sa naissance a été une épreuve pour ma femme et moi. Mais croyez-moi, Anne est ma force. Elle m’aide à demeurer dans la modestie des limites et impuissances humaines.» Qui a dit cela ? demande le député à ses collègues. La réponse tombe dans un silence religieux : «Le général De Gaulle qui a combattu le nazisme et son eugénisme». Applaudissements nourris sur les bancs de la majorité à la fin de sa prestation.
Il n’est pourtant pas si éloigné le temps où il était tabou de prononcer le mot d’eugénisme.
En saisissant le Conseil d’État en 2008 sur la révision de la loi de bioéthique, le Premier ministre François Fillon avait surpris en marquant sa préoccupation : «Les dispositions encadrant le diagnostic prénatal garantissent-elles l’application effective du principe prohibant toute pratique eugénique tendant à la sélection des personnes (art. 16-4 Code civil) ?». Un an plus tard, la réponse de la Haute juridiction claquait comme un coup de tonnerre dans un ciel d’été : la suppression de 96 % des enfants atteints de trisomie 21 – chiffre cité pour la première fois noir sur blanc dans un rapport officiel – rend compte «d’une pratique individuelle d’élimination presque systématique».
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